la cachette

Rien ne fut plus douloureux que d'être frapper par un Dragon en furie. Mais est ce que cela était pire que d'avoir du fuir un combat dans lequel se trouvait Calintz ce satané abruti qui l'avait déjà empêché d'anéantir les humains. Alors que le monde autours d'elle ressemblait plutôt à un océan de ténébres, elle sentit quelque chose qui lui toucha la jugulaire. Un semblant de son d'une voix familière. Alors elle chercha qui, mais elle eut une idée lorsqu'elle sentit de nouveau ce contact dans ses cheveux. Une seule personne pouvait la toucher, toucher ces fils d'ambre.

- ........... toujours aussi éloquent ?

Ses yeux d'or s'ouvrirent et sa bouche rosée laissa sortir un petit gémissement douloureux. Elle passa sa main de velour sur son crâne et sentit une bosse. Pas de chance.

- .... décidement ce merdeux à toujours des alliés de choc. Tant pis je l'aurai une prochaine fois, mais ... je ne perd pas au change, voila qu'au lieu de célébrer sa mort je célébre nos retrouvaille !

Effectivement, il n'avait aucun doute que, si cette éloquence si particulière dont il lui faisait grès, était destinée à tous, elle en aurait été vexé et lui aurait rendu avec la même délicatesse qu'un char d'assaut face à des barricade de bois.

- Effectivement et il en va de même de mon affection particulière à ton égard mon tendre.

Pour une fois, elle se détacha les cheveux qui, noués en queue de cheval lui donner un mal de chien, dommage, elle n'était pas vétérinaire.

- Vraiment ? Pourtant tu aurai eu tout le loisir d'être libre après ma mort. A moins que tu sois vraiment sm, mais bon je ne vais pas me plaindre de ton geste bien au contraire il m'est bénéfique. Et puis cela me fait énormement plaisir, bien que j'ai encore plus l'envie de démolire cette chose répugnante.

Elle s'adossa contre le mur, déplia la veste d'Axl et se la mit. Elle avait tous les drois nan ? Etant trempée par son bain non souhaitait, elle dégoulinait d'eau salée.

- Hé bien, mouillée, enrhumée peut être, abasourdi par le coup mais pas vaincue !

Il lui adressa un drôle de sourire lorsqu'elle lui dit ces mots, à lui qui n'était pas même humain et qui 'aurais même pas u être content de les entendre.
-Tu me flattes avec de tel mots, je suis bien content d'être l'objet de cette affection si particulière, ma reine.
Il l'observa, elle au milieu de cette cascade de cheveux famboyant. Ce n'était pourtant pas la première fois qu'il la voyait ainsi, auréolée de flammes rouges qui lui lechaient les épaules et le cou. Elle pâle pierre, dans un berveau de rubis.
-Libre? De quoi suis-je prisonnier? Ah cette emprise que tu as sur moi...il est vrai que j'aurais pu...mais ça ne m'aurait sans doute pas fait redevenir celui que j'étais autrefois, et ça n'aurait pas non plus effacé le passé...autant que la mort de quelque ne soit pas vaine..et là ça aurait été le cas...et de toute façon, je n'ai guerre envie que tu meurs pour le moment.
Il n'avait de vetement supplémentaires à lui offrir donc oui elle avait bien le droit de s'envelopper dans sa veste de cuir noir.
-Ce serait amusant de voir une reine de ta trempe enruhmée avec le nez aussi rouge qu'une tomate...mais surment pas agréable. Tu es loin d'être vaincue...
Le simili fit claquer ses doigt pour allumer pret de la Reine une flamme qui ne brulait pas la peau mais rechauffait un peu l'air frais de le grotte.
-Je vais te poser une question étrange, mais...comment dire, ces nausées que tu as , tu sais d'où elles viennent?

Amila fit une petite moue. Elle ne voulait pas trop montrer ce qu'elle pouvait ressentir pour lui ou pas de façon plus voyante.

- Moui, hé bien j'espère que tu en feras bon usage ! Rien n'est définitivement aquis !!

Mais elle se radoucit légérement en lui dédiant un un clin complice. Mais elle se refroidit lorsqu'elle entendit "je n'ai guère envi que tu meurs ... pour le moment". Aussi, sa nature suspicieuse la poussa à enclencher le monde méfiance qui vivait en elle.

- Vraiment ? et quand souhaiterais tu entendre le glas qui m'entrainera dans l'autre rive ? Car je te décevrai peut être mais je n'ai guère envi de passer l'arme à gauche.

Hé non elle ne se gêna pas pour garder cette veste qui n'était pas sienne mais bon tout changer non ?

- Effectivement et comme je n'ai aucune envie de ressembler à un potager, j'essaie d'éviter de me retrouver comme un clown avec un gros nez rouge bouffi. JAMAIS je ne serai vaincu par lui sauf s'il arrive a m'abbatre, mais j'en doute !

Elle regarda avec méfiance ce feu innocent et innoffensif qui bruler pres d'elle, elle en profita néanmoins, sans jamais cesser d'être sur ses gardes, le "pour l'instant" lui trottait en tête et elle n'était pas prete à l'enlever.

- ... je n'ai pas pris la peine d'écouter le médecin. Je vais bien mieux donc à quoi bon ? Sans doute quelque chose dans l'air dont je n'ai pas l'habitude, ou une contrariété.

Elle aimait jouer la femme fatale, mais elle n'aimait pas en revanche être prise pour femme facile.

- Bah je suis sûre que tu sauras, au contraire je n'en doute pas moins de toi l'inverse m'aurait grandement surpris.

Des mots au mauvais moment ? Etait -il sincére ? En tout cas, elle n'avait pas d'autre choix que de le croire. Bien qu'elle soit crevée elle ne comptait pas se laisser tuer encore. Mais son trouble lui confirma qu'il avait prononcé ces mots sans même s'en rendre compte.

- Moui, c'est sur que tu n'allais pas me tuer pour me garder en vie .... enfin, pour le moment du moins.

Elle qui le regardait dans les yeux depuis le début s'exclafa de rire puis lui pinça le nez.

- Non tu ne me tueras pas, parce que tu n'en as pas envi. Je ne suis pas médium mais je le vois dans tes yeux. Tout comme je vois que quelque chose te tracasse.

Elle s'approcha de lui, et avec une douceur non dissimulée cette fois, lui donna un tendre baiser sur le front qui lui donna une magnifique trace de rouge en plein milieu.

- Ne t'inquiète pas du rouge j'en porterai, sur mes bras, mes joues, mes lèvres, mon ventre et mes jambes. Je porterai le rouge de son sang et j'en rirai avec grande joie.

Cependant, Axel n'était pas en mode chevalier, en ce moment il était en mode sphinx !!!

- M'y habituer ? Pourquoi donc, j'ai autre chose à faire que de passer mon temps à saloper tout le monde grace à mon déjeuner qui veut vivre !

L'inverse? Le contraire. Le simili rendit les armes, il n'avait pas envie de comprendre quel était le bon et le mauvais usage à faire de la confiance et de l'affection d'Amila. Mais une chose était sure, il devait surtout faire attention au mots et au sens de ses mots dans ce qu'il disait devant elle.
-Ni maintenant ni jamais, je ne te tuerai pas...autrefois sans doute que je l'aurais fait...maintenant j'en serai bien incapable comme tu dis. Si mes yeux sont aussi traitres alors, alors je les arracherais pour paraitre credible.
Le simili poussa un soupir, il ne toucherai ni à ses yeux ni à ceux d'Amila, et elle avait vu qu'il cacaht quelque chose, mais aurait-il le courage necessaire pour lui confesser, à ele principale interesser ce qui le tracassait depuis ce sejour à l'hopital?
-Je me demande si tu n'es pas devin...quoique sinon tu aurais déjà deviner ce qui me tracasse.
Oui le rouge lui allait bien, elle portait bien cette couleur qui la mettait en valeur. Faites pour porter des couleurs chaudes. Le bisous sur le front le tira de ses reveries, pour lui arracher un drôle de sourire.
- Ben voila que je porte la marque de mon allegence aux flammes du reine de rubis!
La suite l'amusait et le torturait à la fois, mais si elle le decouvrait toute seule, peut-être que c'était mieux. Il ne savait pas comment elle allait réagir en apprenant la nouvelle, et restait sur ses gardes...enfin pas tant que ça en fait.
-C'est sur que ça n'as rien d'agéable ni pour toi ni pour les autres. Mais peut-être que tu as deja connu un tel malaise...non j'en doute aussi...je peux te dire que ce n'est pas du tout une contrarité pasagère ou une maladie...

Amila eut un petit sourire. S'arracher les yeux ? En voila une idée, sacrifier sa vue pour quelqu'un ... était ce possible ? Apparemment si ses dires étaient vraies, OUI.

- Oh non ce serait bien malheureux pour nous deux. Toi qui ne pourrait plus voir et moi qui ne pourrait plus regarder cette forêt luxuriante qui croît dans le coeur des flammes.

Effectivement, si Amila était devin, elle aurait dessuite deviné ce qui se cacher derrière tant de tourments. Le pauvre homme se semblait se sentir dépasser par les événements ... et il osait dire qu'il n'avait pas de sentiments ? Sans doute fusse un temps, mais tout s'apprend lorsqu'on vit, surtout intensement, comme ils le faisaient tous deux.

- Magicienne ou plutôt soricière, mais c'est tout. La magie noire et ma matière préférée depuis que j'étudie mon cher petit lion de feu.

Cette marque qu'il portait sur le front était bien plus présente que n"importe quelle trace par blessure ou tatouage, pourtant cela ne satisfaisait pas la Reine qui décida de lui donner une deuxieme trace de son passage, sur le bout du pif.

- Maintenant, c'est toi qui ressemble à un clown ! Bien que pour le moment ce sotn un clown mélancolique.

Elle passa avec douceur et sensualité, ses bras autous de son cou, et approcha ses lèvres des siennes. Un sourire s'étendit, et ses yeux s'arrondir devant toute la gêne du jeune homme. Les formes frontales de la jeune femme touchèrent celles puissantes de l'homme si fort, mais si faible en ce moment là.

- Tu veux dire que je n'ai ni maladie; ni autres formes de troubles dangeureux ? C'est parfait poutant .... cela ne t'enchante guère ! C'est assez paradoxale comme situation non ?

Bon apparement son idée ne plisait pas a a reine non plus! Tant mieux, il les aimait ses yeux lui, et tant pis il devrait continuer à ^^etre aussi lisible à cause d'eux.
-C'est justement parce qu'ils hurlent ce qu'ils ne devraient pas que je voulais leurs reserver un tel sort...mais je me priverait sans doute de bien beaux spectacles, à commencer par celui que vois depuis tout notre arrivée ici.
Il ne connaissaient rien des étranges pensées de la reine, mais c'était sur que s'il le savait il les aurait nié de toute evidence puisqu'il ne croyait pas à la presence possible de sentiment sérieux pour lui...et à vrai dire, encore depuis sa "separation" avec Roxas.
-Une sorcière peut lire les esprit, tout comme la magicienne..j'avour que ça m'aurais aidé que tu sache le faire ce coup-ci...
Un bisous marquant sur le bout du nez, et avec ses deux triangle violet sous les yeux, il ne lui manquait plus que les chaussure de Sora pour faire un numéro de clown parfait! Si il manquait le visage blang et le sourire enorme qui les caractèrisait. Il jouerai en fait le rôle de clown triste, avec sa larme dessinée en bleu sos l'oeil.
-Ah je jouerai bien le rôle du clown triste et pleureur pour une fois...
Il bougea pas d'un pousse, mais retrouva un brin de sourire quoiqu'un peu gené sur les bord de tant d'affection corporelle lui qui n'en avais pas l'habitude. Il retint ces mot qui lui brulais la gorge et s'autorisa deux trois gestes. Le premier de passer ses bras autour de la taille de la reine, le second d'appuyer sa tete sur elle en soupirant.
-Je suis plus qu'heurux que tu ne soit pas malade...quoiqu'à y bien reflechir j'aurais peut-être preferè que tu soit malade, plutôt que de devoir te dire ça...que je ne sais pas comment faire d'ailleurs, ni comment tu vas le prendre...

Malgré les paroles de la reine, le poids de cette vérité que lui seul connaissait, le rendait très mélodramatique. Meme s'il avait eu cette coupe de champagne aurait-il pu faire la fête comme elle le sous entendait ou aurait-il eu peur comme maintenant de sa réaction.
-Oui la verité est bonne a entendre de la boche de celui qui sait...mais parfois cette personne hesite un peu trop à a dire...ici c'est moi qui est assez peur de ta réaction, et je ne sais même pas pourquoi!
Il n'avait jamais pensé qu'il puisse être melé à toute cette histoire, mais maintenant qu'elle le disait il en vint à se poser la question...etait-ce possible qu'il soit...non c'était impossible, il était un simili...son corps n'était pas un vrai corps, alors il ne pouvait pas être...Il regarda la reine avec un regardpresque effrayé puis ses yeux se redoucirent avant de devenir serieux et très concentré sur ce qu'il pensait.
-Bon, je vais tout te dire...j'espère juste que tu ne le prendra pas mal...je sais meme pas pourquoi je pense que tu le prendra mal...enfin...
Il la serra un peu plus fort contre lui, en sentant, ce qu'il pensait être son coeur battre plus vite dans sa poitrine.
-Tu n'as rien fait de deplaisant bien au contraire ma reine...je suis sur que j'aurais plus de facilité à te dire ce que tu aurais fait de blessant...
Il acceuillit sa caresse avec un sourire apaisé, et embrassa sa joue chaude sous ses rougeurs.
-Alors voila...j'ai la dur tache de t'annoncer que..tu..tu...tu es enceinte ma reine.
Poussant un long soupir, il reposa sa tête sur l'épaule de la reine, et ressant ses bras autour d'elle, comme s'il craignait qu'elle s'en aille loin de lui.

L'esprit d'Amila commençait à se poser des questions. Apparement Axel lui disait de ne pas s'inquièter mais de l'autre quelque chose n'allait pas. C'était assez paradoxale et elle ne savait plus bien comme prendre la chose. Devait t-elle s'inquiètait ou pas ?

- Tu as peur ? Quand je pense que tu me disais ne pas connaitre les émotions, soit tu les as appris avec le temps et le recul et mon hypothèse avait raison, on apprend bien les sentiments qu'en cotoyant d'autres personnes "normales" tout comme un enfant apprend sous l'ombre de son père. Soit .... et bien tu me refais le coup de Shakespeare parfaitement imité mais j'en doute étant donné que maintenant, même ton organisme suit.

Elle voyait sa pupille se rétracter. Ces quelques gouttes de sueurs froides. Un léger grincement de machoire. Donc, chaque être pouvait apprendre, s'instruire, pour peu qu'il le veuille ou qu'il laisse la vie faire son travail. Passionnant. Etait ce pour cela qu'elle se sentait si changeait depuis qu'elle le connaissait ? Bien que son mauvais caractère ne laissait pas paraitre grand chose, elle, elle savait.

- Déjà si tu penses c'est un bon point hahah. Tu sais que tu es l'une des rares personnes à pouvoir me parler sans craindre mon courroux ... je crois héhé.

Là, elle sentit encore mieux ce coeur battant, son étreinte se fit si forte qu'elle avait pour la première fois de sa longue vie, l'impression que l'on tenait à elle sans en vouloir à sa fortune, richesse ou beauté.

- Vraiment ... je commence à avoir peur alors de ce que j'ai .... j'espère que ce n'est pas contagieux alors, sinon tu en seras victime bientot ...

De l'humour elle s'adonna à l'humour. C'était du nouveau. Mais la nouvelle tomba bien vite malgré le temps qu'il fallut pour la dire. Elle ouvrit sa bouche sans un son, et ses pupilles s'agrandirent. Alors qu'elle était en train de comprendre sa situation, elle sentit encore plus l'étreinte d'Axel. Comme cela la rassurer malgré tout ceci. Elle était partagé entre la peur, la stupeur, l'étonnement, et ... un brin de joie de sentir Axel tout contre elle.

- .....

Elle eut du mal à trouver quoi dire .... mais elle n'avait pas envi de pourrir l'ambiance .... cette autre partie d'elle même le refuser.

- .... tu es un sacré bon tireur hein ....

Machinalement tout en réfléchissant, ses doigts passerent avec tendresse dans les cheveux du jeune homme affectueux.

Amila pinça le nez rougit d'Axel par son précédent baiser.

- Bien sur que j'ai raison, une femme à toujours raison ! Surtout si je suis cette femme ! Mais rassure toi, les êtres humains réagissent sans se poser de question.

Elle le regarda avec des yeux doux. Tendres, sans le prendre en pitié. Juste, en affection.

- Pour une fois ? J'espère que tu t'exprimes mal encore ! Elle fit une moue qui se calma bien vite, elle ne se sentait pas de s'énerver la tête lui tournait et les nausées la reprirent, mais elle ne voulait rien faire paraitre. Bien sur que tu fais parti des êtres qui me sont assez ... précieux ... vous êtes si peu nombreux que je peux vous comptez sur le bout des doigts de ma main.

Soit, ce n'était pas contagieux tant mieux pour Axel, car sinon ....

- Tu aurais presque l'air de dire ça à regret, non non tu ne seras pas dans un lit à te faire chouchouter ça, ça m'est dû.

Effectivement elle allait devoir être caliner, chouchouter et surtout, repos. Un enfant ... avait elle songeait un jour à mettre au monde un enfant. Elle avait deja honte de sa propre naissance, étant un enfant tabou née d'un être humain. Elle qui les détestait. Heureusement Axel n'en était pas un sinon, elle aurait deja sauté sur une aiguille pour se faire avorter elle-même. Mais .... en y réfléchissant bien ... même si Axel avait été humain .... l'aurait t'elle fait ? Elle sentit sa force vigoureuse et sa tendresse autous de son corps et ferma les yeux en appuyant son menton sur l'épuale du jeune homme. Mais elle se rejeta bien vite en arrière quand il ne semblait pas croie qu'il était le deuxieme possesseur de ce qu'elle avait en elle.

- COMMENT CA ! JE SUIS UNE REINE MOI MONSIEUR ET PAS UNE VULGAIRE CATIN !!! Que le diable m'emporte si ce n'est pas ton corps que j'ai senti en moi !

Comme une petite furie, elle essayait de le repousser par les épaules, assez vexée comme à son habitude, mais son manque de force ne pouvait beaucoup l'écarté de lui.

Si toutes les femmes devaient avoir raison... Calintz aurait t-il toujours à demi-raison ? Oh non elle devait bien reconnaitre que là, Axel avait .... raison justement, sans être une femme !!

- Moui d'accord alors disons que nous sommes le tandem qui a toujours raison en particulier moi mais c'est pas grave je tiens à toi quand même hihi.

La Reine se calma doucement. Axel n'avait pas tort, sa tête lui tournée et elle s'asseya confortablement contre lui. Ses bras autours du cou. Elle sentait quelques petites angoisses, et essaya de se réconforter contre ce seul homme qui en valait la peine.

- D'accord ... pour une fois je vais t'écouter .... parce que je suis généreuse !

Ses joues étaient de plus en plus rouges lorsqu'elle sentit ces lèvres si désirables si tentantes. Ses yeux regardèrent un peu sur le côté. Mais ses mots encore plus la troublèrent parce que là, elle savait qu'ils étaient bien vrai, comme le plus pur des cristal.

- Hé bien tu vas devoir t'y faire parce qu'en tant que Reine j'ai l'habitude de l'être !!!

Puis Axel se rendit compte que la jeune femme avait mal interprété une de ses phrases, cependant, rien ne laisser montrer qu'elle était véritablement en rogne. Cette partie de lui qu'il avait laissé en elle lui pompait toute ses forces et du coup il n'avait pas à retenir un fauve mais un petit félin.

- Mouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis vas y essaie de te rattraper ! Juda va !!!

Mais sa pseudo colère laissa place à un baiser fièvreux.

- Axel tu es celui qui m'a prouvé que rien n'est impossible.... mais je peux te dire que ton corps est bien réel. Tu existes parce que tu penses, tu réagis par ta propre volonté. N'essaie pas de comprendre .... prend juste les choses telles qu'elles sont ... parce que moi c'est ce que je fais.... je suis aussi perdu que toi dans tout ceci , c'est un mouvement qui m'est inconnu pourtant je ne crains pas de le parcourir avec toi ... parce que je .... je ...............

Elle posa ses doigts sur ses lèvres se rendant compte de ce mot jugé auparavant tabou, qui allait sortir.

Amila regarda son fripon de compère. Décidément, il ressemblait à un petit garçon, un tout jeune garçon voulant obtenir tout en finesse et sans faire de crise, ce qu'il convoitait.

- Mais je suis la plus sage des femmes de ce monde, tout simplement car je suis née ainsi. Donc tu te dois de m'écouter avec attention et tendresse.

Elle, son coeur battait également. Mais aussi contre cet autre coeur qui semblait vouloir le rejoindre.

- Et d'habitude, est ce qu'on t'écoute ? Est ce qu'on te croit ? Est-ce qu'on te fait confiance ? Ou suis-je une des rares qui te permettent de t'exprimer ? Parle moi de toi ....

Elle ne se sentait pas trop de parler. Les nausées lui revenaient et elle voulait en connaitre plus sur la vie de cet Axel. Il lui semblait tellement proche mais tellement étranger. Et ceci elle aimerait que cela ne le soit plus.

- De toute façon c'est moi qui commande, je suis la Reine, c'est moi qui porte la culotte !

Cependant elle rigola de ce qu'Axel lui disait,effectivement il ne connaissait pas le monde des humains.

- Mais Axel, chaque être humain est doté d'une soif de connaissance. Seuls les abrutis ne cherchent pas à connaitre le monde qui les entourent et restent dans l'ignorance. La preuve, il ne se documente pas, ne cherche même pas à comprendre ni rien. Toi bien au contraire, tu es plus intelligent et humain que ce que tu crois je peux te le dire en connaissance de chose.

Sa joue était vraiment pâle. Pâle par l'écoeurement de son état nauséeux.

- ... tu, tu es content que je sois heureuse ? C'est touchant ceci, et je n'ai nullement besoin que tu changes pour t'apprécier.

Elle se mordit en se maudissant. Saloperie de bouche disant tout haut ce que ... ce que quoi ... qu'est ce qui en elle voulait dire ça ?

- Hé bien je ... je suis ......... elle baissa les yeux et respira fortement, tu ne vois pas ... à quel point je peux être si ..... si ...... si heureuse d'être là en ta compagnie.

Elle fit un "shit" entre ses lèvres, mais le murmure ne put se faire à cause des doigts fins et doux d'Axel contre sa peau.

Mais il convoitait, et son plus grand bonheur était d'obtenir cette douceur convoitée, même s'il s'agissait d'un éphémère sourire sur des lèvres aussi douce que celle de la reine.
-Je t'ecoute avec attention depuis le debut...la tendresse, si c'est bien cela, est toute recente, mais présente maintenant...
Comme si il avait besoin de repondre à cette phrase...pour lui oui c'était necessaire, mais peut-être n'attendait-elle pas de reponse à sa phrase. Il avait encore beaucoup à apprendre sur elle pour dechiffrer ses envies.
-A part Roxas...et toi maintenant...on peut pas vraiment dire qu'on m'ecoutais beaucoup...quand a me croire...ce genre de chose ne se pose même pas pour les similis...personne ne nous crois, et nous ne croyons personnes...c'est une cercle sans fin...Il est deconseillé de nous faire confiance, puisque nous ne sommes que des ebauche d'humain sans corps réel nous sommes instable dans les "sentiments", si tant est que l'on en ai.
Il avait dit le mots sentiments d'une manière hesitante, presque comme s'il redoutait ce mot. Mais depuis ce moment là, dans le tunnel avec Sora, et son depart au volcan ici même...il ne le redoutait plus tant que ça.
-Mais que veux-tu savoir de moi...douce reine...
Il se contenta de lui adresser un sourire. Elle avait la volonté de dmination, lui celle d'un dominé, elle n'aurais pas beaucoup d'ffort à donner pour l'avoir entre ses doigt...enfi ça c'était deja fait.
-Mon savoir...est si petit...des recherche qui ne sont même pas les mienne...des resultat d'expérience que je ne voulais que voir echouer...mon ancienne vie, je ne m'en souvient plus...la seule chose dont je me souvient c'est ma vie de simili...j'ai été humain autrefois...mais je ne sais plus...
Il n'avais jamais vraiment chercher à savoir qui il avait été autrefois. On connaissais le passer et l'humanité de certains membres de l'organisation qu'il avait laché, dont celui de Roxas. Mais pour la deuxieme génrération, ce n'était que le néant.
-Mais si à tes yeux je suis humain...si cela suffit à te faire sourire...alors je me moque bien de savoir ce que c'est que d'être un vrai "humain"...puisque je plait ainsi, je ne changerais pas.
Il effleura sa joue pâle en retrouvant son sourire éclatant. L'ecouta se confier, et stoppa son geste en la fixant d'un air surpris, qui se redoucis. "Apprecier"...ce mot simple, doux et pourtant il était si bon à entendre...et veant d'elle...
-Je le vois Amila...mais je voulais sans doute l'entendre aussi.
Ses doigts s'envolèrent de ses èvres et il y deposa ses propres lèvres que celles de la Reine.
-Ai-je le droit de recuperer ce morceau de moi que je t'avais laissé en partant...pour être entier à tes coté maintenant?
Les mots sortaient seul de sa bouche, et les entendre ne le genait plus autant qu'avant. Ses yeux verts brillaient, mais étaient tellement melangés qu'on ne pouvait voir ce qu'il ressentait vraiment.

Axel réussissait de plus en plus ce qu'il entreprenait car encore et de plus en plus, Amila sourit comme une jeune adolescente devant tant d'affection par un ami si intime qui semblait vouloir le devenir encore un peu plus.

- Mmmh alors j'espère que cela va continuer encore dans cette progression si alléchante. Et si ta douce tendresse qui fait croire à tous qu'elle est née avec toi, demeure toujours si sage, et bien je saurai être .. comment dire, lui donner toute ma gratitude.

Puis ce fut à son tours de l'écouter avec toute l'attention du monde. Elle ne rala pas, de souflla pas, ne bougea même pas le moindre petit cil, uniquement dans le but de tout entendre, tout connaitre sur la vie, ou du moins une partie, de celle d'Axel. Elle eut juste un sourire quand il parla d'humain et de confiance dans la même phrase.

- Une ébauche ? C'est déjà que trop. Heureusement que tu es différent. Personnellement je ne crois pas que quelqu'un dans ce monde soit véritablement sincére à 100%. Chacun, un jour ou l'autre, ment, se ment, et mentira. Parfois en bien, parfois en mal, parfois pour se sauver la vie ... parfois pour la prendre. Je pense que lorsque l'on dit principalement la vérité à quelqu'un c'est que l'on tient à lui ... du moins je crois car, par mon statut, il m'est interdit d'accordée la confiance à mes généraux ... du moins, je l'accorde plus rapidement à mes agents.

Elle sortit un mouchoir qu'elle plaça tout doucement devant sa bouche et ferma les yeux. Les nausées étaient fortement désagréable mais il fallait faire ce que l'on pouvait pour les retenir.

- Moi ? Juste ce que tu veux me dire trésor !

Elle respira profondément et rangea son mouchoir. Les remontées étaient passés. Décidément jamais un être, mis a part Calintz n'avait pu la rendre si mal en point.

- Le tout c'est de vivre l'instant présent très cher. Au diable le passé, le temps l'a déjà dévoré. Il n'existe plus et demain n'existe pas encore. Alors focalise toi sur aujourd'hui. Personne ne se connait réellement et personne ne sait qui il est. Donc tu fais parti de cette population qui se cherche désespérement.

Elle fit la grimace quand elle entendit encore une fois le mot humain. Surtout venant d'Axel. Pourquoi vouloir être humain ? Durant des siècle elle s'était cachée derrière un masque pour cacher ce côté de ses origines qui l'était, alors pourquoi les gens se disaient vouloir devenir plus humain ?

- Les humains ne sont que des monstres. Ne cherche pas à devenir comme eux. Car chaque fois qu'une de ses minables créatures se trouve sous ma main, je n'ai d'autre passion que de lui écraser sa minable existence. Tu es un simili, soit et tant mieux, je te préfére ainsi. Dans ta vraie nature et même triomphant d'elle. Mais jamais, jamais un humain ne me plaira ... jamais je ne pourrai supporter la vue de ces êtres immondes. Ils sont pires que le statut où tu dis te trouver. Pire que ce que tu crois savoi.

Mais ses joues devenues en une fraction de seconde blanches avaient repris leur couleur rouge flamboyante.

- QUoi je ... je ... oui ... oui ... heu ben oui je t'apprécie énormément ... tu es différent de toutes les autres personnes que j'ai pu rencontrer, et tu m'as traité différement.

Elle eut un sourire ironique en caressant la légére petite marque sur sa joue. Le chakram et son possesseur avait toujours laissé une trace sur elle et en elle depuis. Ses yeux se perdirent aussi dans le vide quand les lèvres de son tendre "ami" vinrent se poser de nouveaux sur les siennes, mais cette fois, cela lui semblait tellement différent.

- ........... tu ... tu voudrais vraiment rester à mes côtés ? Sans jamais plus repartir tout seul ?

Ses yeux à elle tremblés légérement d'émotion. Elle sembla vouloir articuler quelque chose mais à la place, elle se jeta en avant sur Axel en lui donnant également un fiévreux baiser.

Mais comme ce sourire le rendait –comment disait-on déjà, ah oui… - heureux ! Ce sourire, il n’était que pour lui, à ce moment là, où du moins c’est ainsi qu’il voulait le penser même si cela lui faisait drôle qu’une autre personne que Roxas lui sourit. Bon il y avait eu Larxene…mais il s’en fichait pas mal, ce n’était ses sourire qui avait egayer ses journée, bien au contraire.
-Elle restera telle qu’elle maintenant…aussi douce et aussi tendre que tu le désir. Si il a une progression, je te la dois à toi aussi…
Elle n’était pas seule à l’avoir forgée, mais au fond de lui il se disait que cette tendresse était nouvelle, et que c’était sans doute ça et cet attachement qui avait briser ce lien invisible qui le reliait à Roxas.
Il parla de lui, de l’organisation, de ce qu’il savait et comprenait, et la douce poupée de porcelaine entre ses bras l’ecouta avec une telle attention que ses yeux se voilèrent de malaise. Comme il n’aimait pas être serieux comme ça…lui qui avait l’habitude d’être un sacré clown…Il fallait qu’il le redevienne, parce qu’il se sentait mieux dans habit de clown plutôt que dans celui de l’homme viril et aimant, même si cela ne l’empecherait pas de continuer à aimer –si taant est que c’était bien là de l’amour, parce que lui avait du mal à y croire. Mais pouvait-on le lui reprocher ?
-Peut-être pas a 100% mais en tout cas assez pour être digne de confiance…je ne suis pas de ceux-là, j’ai trahis mon meilleur et unique ami…et j’ai bien peur de ne jamais le revoir…être reine doit être bien difficile parfois…ne pas avoir de personne sur qui l’on peu vraiment compter…mais je suppose qu’on fini par s’y habituer…
La perte de Roxas -même s’il esperait toujours être capable de le retrouver, même si plus rien ne serait pareil, même s’il faudrait tout reconstruire- ne le laissait pas de marbre. Si c’est cette douleur qu’il avait ressenti, alors il comprenait pourquoi il cherchait à s’eloigner. Mais il irait le chercher dès qu’il pourrait. A présent il avait un ami à retrouver…et elle…une femme à « combler », « aimer »…et sans doute tout un tas de chose encore qu’il ne savait pas et n’imaginait pas.
Il la regarda faire avec ce mouchoir, en lui adressant un sourire d’excuse, et ses yeux se posèrent sur le ventre de la reine de flamme. Un vie était à l’interieur de ce corps…une vie qu’il avait lui-même semer…Amila pourrait dire ce qu’elle voulait, Axel avait du mal à y croire, même s’il commençait à accepter que cela puisse être vraiment lui.
-Tu as raison, mais accorde moi encore un peu de temps pour me liberer de ce lourd passer…je n’arrive pas à m’en defaire…je me suis toujours chercher, et avec Roxas nous avons desesperement chercher un but pour ceux que nous étions, alors tourner la page simplement comme ça juste pour vivre le présent n’est pas facile petite flamme.
Elle ne pouvait sans doute pas comprendre pourquoi il cherchait tant cette humanité qu’elle detestait. Il eu un sourire d’excuse, mais ne s’empecha pas d’y penser pour autant. Jusqu’à maintenant cela avait été son seul but, d’oublier sa nature de Simili et de recherche qui était l’humain qui l’avait créer.
-Des monstres ? Ce ne sont pas des anges mais tout de même…de là a dire cela…
Il resta presque figé à la suite des mots, et se mit à reflechir. L’aurait-elle tué si il avait été humain. Leur rencontre aurait-elle été différente s’il n’était jamais devenu ce qu’il était aujourd’hui ? Il ne put s’empecher de lui poser la question, tout en étant encore à demi-plonger dans sa reflexion.
-M’aurais-tu detesté si j’avais été humain…me detesterais-tu si je le redevenais aujourd’hui ? Je sais bien que tu ne les porte pas dans ton cœur, ou du moins je l’ai compris mais, pour moi, l’humanité n’est pas pire que cette vie là. Il me faudra beaucoup de temps pour croire le contraire…sans doute plus que des paroles les qualifiants de monstres…Pardon, mais je ne pense pas comme toi...Mais il est preferable de ne pas s’aventurer plus loin sur ce sujet.
Il ferma les yeux, parce qu’il ne se sentait pas d’humeur à philosopher sur ça, mais parce qu’il ne voulait non plus l’enerver inutilement, car pour le moment elle pourrait parler à un mur que ça reviendrait au même que de parler à la pierre qu’était Axel sur ce sujet là.
Mais bien heuresement tout changea, et en bien autant pour lui que pour elle. Parce qu’il avait voulu savoir une chose, et parce qu’elle avait rougi. Le rouge était une si belle couleur, mais encore plus elle sur les joue d’une femme comme elle. Et accompagné de tel mots, comment pouvait_il resisté, si tant est qu’il soit obligé d’y resister.
-Alors je suis heureux de t’avoir traiter différement, et peut-être fier –si je peux le dire ainsi- d’être apprecier par toi.
Il se redressa un peu, et dans cette confusions de sens qui envahissait son regard, il souri. Un sourire qu’il ne se savait même pas capable d’offrir à quelqu’un un jour…ou du moi pas de cette manière. Un baiser pouvait tout changer, mais encore fallait-il savoir qu’on était capable d’un tel acte. Mais il ne le regrettais pas.
-Si cela n’est pas un fardeau pour le rubis qui me pose la question, alors oui. Plus jamais seul…jamais.
Sur cette terre il n’y avait que deux être qu’il voulait à ces cotés et auprès desquels il voulaient rester pour l’éternité. Roxas et elle étaient ses deux plus precieux trésor, maintenant qu’il avait le temps de faire le tri en lui, et eux seul pourrait decider de ce qui pourrait lui arriver. Et il ne semblait pas vraiment se hair ces deux là, peut-être que cela pourrait marcher…
Il repondit à son baiser amoureux en laissant libre court à ses sens, car sinon il n’aurait pas su comment réagir. Et après de longues minutes, quand l’un et l’autres reprirent leurs lèvres, plus manque d’oxygène que par réelle envie de se separer, Axel fini sa phrase.
-Je resterais…si bien sur tu veux de moi…
Il avait dit cela avec un brin d’amusement tout de même, parce qu’après un tel baiser, qu’elle lui avait donné alors que d’ordinaire elle ettouffait cela –pour le peu qu’il la connaissait, il avait remarquer cela- il ne doutait pas vraiment de son accord. Mais l’entendre était bien plus precieux, pour lui du moi, et parce que c’était une première.

Aujourd'hui elle n'avait pas ce faux sourire qui faisait parti de son comportement quotidien. Ceci était la preuve d'un changement en elle. Peut-être ne s'en appercevait t-elle pas non plus.

- Vraiment ? J'ai hâte d'en profiter chaque jour. Ta progression serait tellement avantageuse pour moi darling.

Alors qu'elle écoutait chaque mot, chaque parole que ce dernier lachait, comme un dévoilement de sa vie privée, elle resta attentive, tellement qu'elle remarqua également son regard plus sombre.

- La confiance c'est quelque chose d'unique ... elle se donne, se perd ... mais se gagne également. Tu n'es pas parfait, Heureusement car si c'était le cas tu serais bien loin de celui que tu aimes être. En tout cas envers moi tu as toujours été parfait. Etre Reine, en revanche, c'est l"équivalent d'être seule ...

Etre seule, ça, elle ne saurait plus ce que ça voudrait dire durant plusieurs mois. Elle n'était plus seule, et quoi qu'elle fasse, si ce n'était pas Axel qui serait près d'elle, ce serait cet enfant. Cet enfant venu comme un colis inattendu d'une personne lui voulant du bien et offrant un cadeau dans l'espoir de plaire, mais cette fois le colis fut une suprise pour le receveur et l'envoyeur.

- Je ne te demande rien voyons. Je ne pense pas t'avoir demander quoi que ce soit ? Tu es même partit lorsqu'on était au volcan. Mais attention je ne te laisserai plus jamais seul héhéhéh.

En revanche elle reprit très rapidement sa moue boudeuse et cette fois colérique.

- Bien sur tant que cela. Ce ne sont que des monstres, des chien en rut. Des choses sans aucun intérêt à part lorsqu'ils crèvent la gueule ouverte.

Soudain il lui posa une colle. C'est vrai ceci. Qu'aurait t'elle fait s'il avait été humain ? En tout cas elle ne pouvait lui mentir, aussi lui répondit t'elle avec franchise.

- Je pense que ... d'abord oui j'aurai voulu te tuer sans chercher à comprendre ... cependant ... je pense que je me serai plutôt tuée à la place ... tuée par honte car je sais que ... quelqu'un comme toi, ou plutôt TOI m'aurait séduit ... je pense que j'ai peut-être ... mûrit ... mais ... j'admet également que les humains me dégoutent. Pourtant ni toi ni Roxas ne me donne la nausée ... tant mieux.

Cependant ses douces paroles la rassurérent. La calmérent, lui firent du bien. Elle eut un sourire presque béa.

- Moi aussi j'en suis contente. Et je vais tout faire pour te garder toujours près de mon corps ... même si ce dernier va doubler de volume ...

Elle regarda son ventre et enfin, elle parut en être amusée. Elle posa son front contre la clavicule d'Axel. Toujours arborant un beau sourire.

- Un fardeau ? .... non ... pas pour moi ni pour "lui".

Elle aima ce baiser, elle aima ses lèvres. Elle aima ce corps qu'elle voulait pour elle. Elle le voulait tout simplement.

- Alors tu m'envoies au pays des Anges ma flamme ardente.

Elle se serra fortement contre lui. Tellement qu'Axel pouvait compter qu'ils étaient bel et bien trois.

Le changement était une chose, s'en rendre compte en était une autre. C'est pourquoi, dans ces moment là, c'était toujours mieux d'être deux. Mais encore ensuite fallait-il accepter que l'on change. Cette chaleur qui chassait ce que l'on croyait être autrefois, était-ce cela le changement? Sans doute...
Axel adressa un nouveau sourire eblouissant à Amila, en posant sa main sur sa joue, avant de répondre.
-Tu en profiteras, puis que cette tendresse est pour toi. Concernant l'avantage ça reste à voir...
Il parlait presque sans respirer de ce qu'il avait cru être, de ce qu'il était. Des espoirs qu'il avait nourri et perdu, des choses qu'il avait fait en les croyant normal, jusqu'à ce jour...A présent elle lui parlait de confiance.
-J'espère bien qu'elle se gagne, car celle que je veux retrouver, hormis la tienne que j'ai je pense, j'ai du pain sur la planche. Ma perfection inachevée saute au chose, mais la perfection n'a rien d'agréable...
Il lui embrassa le front.
-Tu n'es plus seule maintenant, que tu soit reine ou non, maintenant tu ne sera plus jamais seule.
Il eut un petit sourire vaec la suite. Oui il était parti, pour le retrouver lui, mais l'avait perdu. C'était le lourd prix d'une trahison qu'il devrait à jamais garder, tant qu'il ne retrouvait le seul et unique ami qu'il n'avait jamais eu jusqu'à aujourd'hui. Mais il put se rendre compte à quel point elle haissait les humains, c'était facheux pour lui qui voulait tant en être un et c'est d'ailleurs ce qui l'avait pousser à lui posé cette question qui sembla la perturber.
-Merci bien de ta franchise. Si l'humanité que je recherche te donne la mort je prefère encore continuer à ignorer ce que je fus autrefois, avant d'être un Simili...Tu hais les humains, nous n'en sommes plus, c'est sans doute pour cela que tu ne ressent pas ce degout envers nous...Moi j'ai oublier l'epoque de ma vie ou j'étais humain, ce que j'ai fait et vecu n'est qu'un trou noir. Par contre Roxas non, et moi même j'ai rencontrer son "humain"...
Il la serra contre elle, autant qu'il le pouvait. Et il glissa à l'oreille.
-Tu sera toujours aussi belle, même si tu double de volume...Je suis déjà "jaloux" de ceux qui ose te regarder.
Il y avait eu une breve hesitation quant à l'empoie du mo jaloux, car là encore il lui faudrait voir de ses yeux voir pour être sur qu'il était capable d'une telle chose. Mais il n'en doutait plus avec autant de conviction qu'autrefois, avec elle tout était possible.
-Alors soit, puisque j'ai une place, je veux bien y rester...tout près de "vous".
Il esperait juste que ces sentiments instable ne lui ferait pas mentir. Mais pour une fois, il était presque sur de tenir ce qui semblait être une promesse.
Et il compta, souriant même d'un heuresement surpris, il ne lui manquait que la larme à l'oeil, pour completement ce doux et romatique tableau. Il dessera son étrainte et posa sa main sur le ventre d'Amila. Rien ne se voyait encore, mais il était comme un gosse qui ne comprenait comme tout c'était passer. LUI, il avait donner la vie, ce qui grandissait dans le corps de cette pierre precieuse aux mille et un reflets venait de lui.
Le sourire niais, d'un homme qui devient père: Axel aussi l'avait maintenant, et il semblait disposer à le garder.
En revenant sur Terre, quittant les petit enfants qui lui flottait autour, il demanda:
-Te sens-tu mieux maintenant, douce Reine de Feu?